| Sujet: Jillian Kayser l'accro du shopping. Dim 21 Fév - 22:01 | | Jillian Kayser SURNOM » Son père l’a toujours appelé Jill et il préfère de loin qu’on l’appelle comme ça plutôt que Jillian. ORIENTATION SEXUELLE » Aucune, le sexe n’a jamais intéressé Jill sous quelques formes que ce soit, personne ne lui a jamais plu. ÂGE & DATE DE NAISSANCE » 13 Avril 1999, ORIGINE » Jill est né de père allemand et de mère anglaise; est originaire de Munich GROUPE » Nouveau Départ Eris COMMENT ÊTES VOUS ARRIVÉ ICI » Je suis là grâce à Derek. UNE REMARQUE » Pas spécialement je trouve le design du forum super cool et si je suis là c’est que le contexte me plait beaucoup. PRÉSENCE » Tout dépendra de ma quantité de travail mais certainement plus en week-end. CODES » Codes validés par Derek M. | CAS PARTICULIERS
NOUVEAU DÉPART LES PROBLÈMES DE L'ÉLÈVE » Jillian est un acheteur compulsif et extrêmement matérialiste. Solitaire, il n’aime pas la compagnie des autres. LE SUIVI MÉDICAL » Étant déjà suivi par un psychologue depuis qu’il est petit, ça ne le dérange pas de se rendre aux rendez-vous avec le psychiatre de l’académie même s’il est peu probable qu’il puisse en tirer quelque chose. Physiquement, il n’a aucun problème de santé. MON AVIS » « Je ne vois pas pourquoi le fait que je puisse préférer être seul est un problème. Les objets que je possède me contentent très bien sur le plan affectif, je n’ai besoin de rien d’autre. Je suis peut-être différent mais je n’ai pas de problème pour autant. Pour ce qui est de mes achats, je ne vois pas où est le mal dans le fait de contribuer au bon fonctionnement de l’économie dans cette société. » VIE SOCIALE Jillian venant tout juste d’arriver, il n’entretient aucune relation avec les autres occupants de l’académie et il a bien l’intention de faire en sorte que cela reste ainsi. Sa vie sociale a toujours été inexistante et il n’est pas question pour lui de changer les choses. Les gens ne sont pour lui pas assez prévisibles, cruels et quelqu’un qu’on pense digne de confiance peut très vite vous décevoir. Nous n’avons pas ce genre de soucis avec les objets. | DESCRIPTION PHYSIQUE Banal et invisible sont les deux adjectifs qui conviennent le mieux pour décrire le physique de Jillian. Moins on le voyait, mieux il se portait. Après avoir longuement souffert des brimades sur son apparence lorsqu’il était plus jeune, il avait abandonné tout ce qui le rendait quelque peu unique et remarquable auprès des autres. Son roux flamboyant se transforma en un blond cendreux et terne après maintes recolorations. Ses yeux, jusqu’alors d’un vert si vif et si pur qu’on aurait pu distinguer leur couleur à plusieurs mètres de distance, étaient à présent recouverts de lentilles marron tirant très légèrement sur le violet. Quant à ses tâches de rousseur, il les recouvrait chaque jour d’une épaisse couche de fond de teint pour les faire disparaître, ce qui lui valait de pouvoir rester un bon moment dans la salle de bain avant d’enfin pouvoir partir en cours. La seule chose qui aurait pu être remarquable chez lui était sa garde robe. Pas qu’il soit excentrique dans sa façon de s’habiller bien au contraire, mais Jill détestait par dessus tout reporter les mêmes vêtements deux jours d’affilé… Disons plutôt qu’il haïssait le fait de reporter les mêmes vêtements dans la même année. Le simple fait de remettre le même t-shirt avec lequel il aurait pu se voir il y a seulement un mois lui était insupportable. Bien qu’il ne cherche pas à être vu, Jillian avait un sens aiguisé de la mode, il ne se définissait pas comme étant dans un style particulier. Le jeune homme mettait ce qui lui plait du moment que ça s’accordait bien ensemble et s’il fallait placer un mot dessus, on pourrait dire que ce qui lui plaisait de manière général se rapprochait plus du casual chic. Jill n’a aucun tatouage et aucun piercing, il est complètement vierge. Dans tous les sens du terme. DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE Tout comme pour son physique, psychologiquement parlant, Jillian ne cherche pas à se faire remarquer bien au contraire. Rasant presque les murs, il ne supporte pas qu’on lui parle et préfère être complètement invisible. Il préfère de loin qu’on ne puisse pas voir de qui il s’agit quand on entend son nom. Bien évidemment, si vous lui parlez, il vous répondra. Il n’est pas pour autant phobique de l’espèce humaine et n’a pas peur au point de perdre ses moyens quand on lui parle, du moment qu’il ne sent aucun jugement de valeur quand on s'adresse à lui. Personne ne sait vraiment ce qu’il a en tête, ne faisant plus confiance à personne, pas même à ses parents, bien qu’il les aime quand même profondément. Il estime ne pas avoir besoin de se confier à quelqu’un, que les objets qu’il possède sont là pour l’écouter sans le juge,r sans lui répondre et qu’il n’a pas besoin de plus que ça pour se défaire de ses craintes et de ses inquiétudes. Il lui arrive ainsi de parler tout seul dans son coin mais vous ne pourrez jamais en avoir conscience, Jill restant sur ses gardes pour être certain que personne ne puisse le voir ou l’entendre dans ces moments-là. Il se comporte ainsi comme un véritable fantôme dans une classe. Il ne vient que pour suivre les cours avant de s’en aller sans avoir adressé la parole à qui que ce soit et l’idée même de devoir partager une chambre avec quelqu’un est pour lui un véritable problème.
Cependant en plus d’être terriblement réservé, le véritable problème de Jillian est certainement le fait qu’il soit un acheteur compulsif. Le laisser se balader dans un centre commercial est certainement la pire idée que l’on puisse avoir et vous n’en sortirez qu’avec une facture d’un minimum cinq cent euros et ce malgré le fait que les bonnes affaires ainsi que les soldes n’ont plus aucun secret pour lui. Pour lui ,ce sont des "crush", il tombe littéralement amoureux des objets avant de les acheter au point même qu’il pourrait avoir l’impression que ceux-ci lui parle et l’oblige à venir les prendre.
Un défaut pouvant cependant faire ressortir une compétence ou un don particulier, celui de Jillian est celui des chiffres. Incollable lorsqu’il s’agit des mathématiques, c’est la seule matière dans laquelle il excelle au point même que ses parents et certains de ses professeurs le considèrent comme un surdoué dans ce domaine. Demandez-lui la racine carré de n’importe quel nombre, il sera capable de vous la sortir à la seconde. Il connaît les décimales du nombre PI dans leur intégralité bien qu’elles soient proches de l’infini. Mais s’il excelle dans cette matière au point de ne jamais avoir fait une seule faute dans un devoir de maths, on peut dire que c’est loin d’être le cas dans les autres matières qui selon lui n’ont aucun intérêt et où il pourrait y figurer comme un cancre, car il ne les a jamais travaillé. Malheureusement pour lui, tous ces problème lui ont valu de ne pas pouvoir intégrer le groupe qui pouvait l’intéresser: les Théorèmes.
Apprendre à connaître Jill est une chose extrêmement difficile voir impossible mais si quelqu’un s’intéressait vraiment à lui et faisait preuve d’observation à son égard, il se rendrait vite compte qu’il reste quelqu’un d’un peu naïf mais profondément gentil, bien qu’en avoir conscience ne lui a valu que de se construire une carapace assez forte pour ne plus être blessé.
| HISTOIRE -Je changerai, j’essaierai de me contenir, j’achèterai plus rien ! Je suis désolé papa, m’oblige pas à aller là bas, s’il te plait !
Les paroles de l’adolescent sonnaient comme des lames aiguisées transperçant le cœur de son père à chaque mot prononcé. Il aimait son fils plus que sa propre vie, il aurait tout fait, tout donné pour lui. Il savait pertinemment ce qu’il avait vécu lorsqu’il était plus jeune, le harcèlement scolaire. Un harcèlement tel qu’il avait littéralement brisé la vie de son fils et l’avait changé à tout jamais. Il le savait. Même lui n’aurait plus jamais la pleine de confiance de son enfant, lui qui pensait que les insultes dont lui parlait son fils n’allait pas durer et qu’il suffisait qu’il se fasse un peu oublier. Lui qui n’avait pas vu les coups qu’on lui portait, que Jillian finissait par cacher pour que les choses n’empirent pas. Son travail prenant l’avait rendu aveugle face à la douleur de son enfant et oui il le savait. Il était en grande partie responsable du comportement de son fils aujourd’hui.
Un nombre incalculable de fois il n’avait menacé de l’envoyer en pension pour qu’il arrête de dépenser tout l’agent qu’il ramenait chaque mois avec sa mère. Mais jamais il n’avait réussi à tenir face à son fils qui semblait réellement terrifié a cette idée. Chaque fois, il lui disait qu’il allait changer et il faisait vraiment des efforts. Il le voyait bien pendant quelques semaines et il tentait de se retenir mais ça devenait bien plus fort que lui, une véritable maladie qui le rongeait et l’obligeait à combler le vide qu’il ressentait par toute sorte d’achat. Le fait qu’il ait été un véritable enfant pourrie gâté lorsqu’il était tout petit n’avait certainement pas aidé. Il ne savait pas lui dire non mais cette fois il tiendrait bon.
-Tu m’as dit ça un nombre incalculable de fois. Je sais que tu fais de ton mieux mais ce n’est pas suffisant tu as encore accès à tout ce qui peut te permettre de désobéir ! Là bas au moins tu ne pourra plus dépenser un argent que tu n’as pas.
-Tu me détestes à ce point ?! Tu sais que je ne peux pas partager la chambre de quelqu’un, je veux pas perdre tous mes repères ! Tout ce à quoi je tiens est ici, tu veux tout m’enlever…
Jillian pleurait de rage et d’incompréhension il avait le sentiment d’être abandonné, trahi à nouveau par la seule personne en qui il avait encore un peu de confiance. Il n’était pas parfait, il avait ses défauts, certes, des défauts qui coutaient chers au foyer et il voulait vraiment changer, mais est-ce que le fait qu’il n’y arrivait pas était une raison pour se débarrasser de lui ? L’adolescent se redressa, lui qui s’était littéralement mis à genoux pour supplier son père de ne pas l’envoyer en internat. La dignité n’avait pas de sens pour lui, du moins il n’en avait plus depuis longtemps. Sous le silence de son père qui ne savait pas quoi répondre, pas parce qu’il ne l’aimait pas, mais parce qu’il se savait à deux doigts de craquer comme d’habitude, Jill remonta dans sa chambre pour s’enfermer s’asseyant sur son lit pour serrer un ours en peluche dans ses bras, qui lui pouvait comprendre sa détresse selon lui.
Il n’avait jamais pensé au suicide, sa naïveté l’en empêchait, et il n’avait de toute façon pas envie de mourir. Dans un sens, il arrivait à trouver du bonheur et du réconfort dans sa chambre avec tous ces objets souvent inutiles qui l’encombraient. Son univers comme il l’appelait, il aurait pu rester éternellement dans cette chambre sans jamais en sortir et sans ressentir la solitude. Du moins c’est ce qu’il pensait. Pour lui il n’y avait aucun moyen de s’en sortir.
Il s’allongea finalement en espérant que le lendemain son père aurait changé d’avis. Mais ce n’était pas le cas. Lorsqu’il se réveilla pour descendre prendre son petit déjeuné, plusieurs cartons dépliés et ouverts ornaient le salon ainsi qu'une brochure. Elle avait été déposée sur la table basse à son intention. Jill resta d’abord immobile face au spectacle. Il finit cependant par s’approcher de la table pour prendre le prospectus dans sa main. Celui-ci présentait l’académie dans laquelle il allait être envoyé et invitait clairement les élèves à en faire partie. Sans même prendre le temps de le lire, il jeta le bout de papier à la poubelle avant de finalement retourner se coucher, un sentiment de vide s’emparant de lui.
Il ne fallut que quelques jours avant que toutes ses affaires ne soient emballées, ses valises faites et le taxi commandé pour l’envoyer dans son nouvel établissement. Jill n’avait plus du tout adressé la parole à son père ou à sa mère et quand le taxi s’arrêta devant la maison pour l’emmener, il ne leur adressa aucun regard. En quelques minutes, le coffre était chargé, le taxi prêt à partir et lorsque ses parents tentèrent de s’approcher pour l’embrasser, Jillian se recula d’un pas sans même les regarder. Au dernier moment, son père fut à deux doigts de tout annuler de s’excuse auprès de son fils d’avoir osé faire une chose pareille et de tout oublier mais sa femme lui tint la main pour lui donner le courage d’aller au bout celle-ci ayant bien conscience que c’était la meilleur solution pour que leur fils commence à prendre conscience de l’argent qu’il dépensait. Le quadragénaire déglutit en regardant son fils rentrer dans le taxi et il serra la main de sa femme avec force lorsque celui-ci se mit à démarrer.
-Chéri, pour moi aussi c’est dur mais c’est pour son bien … on ne sera pas toujours là pour veiller sur lui … dit-elle alors qu’elle-même arborait un sourire triste. Elle savait qu’elle ne devait pas craquer. Pour son mari, pour son fils, si elle s’était mise a pleurer elle savait que son époux aurait tout annulé et que rien ne se serait arrangé.
Jill ne se retourna pas, et d’un geste nonchalant, il porta les écouteurs de son Ipod à ses oreilles pour ne pas avoir à faire la discussions au chauffeur et s’enfermer dans sa bulle. Remontant ses jambes contre son torse, ses pieds sur le siège, il se mit à observer le paysage qui défilait devant lui espérant toujours que ses parents changeraient vite d’avis.
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Derek McLivingstone
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| Sujet: Re: Jillian Kayser l'accro du shopping. Mar 23 Fév - 20:41 | | Validation ! Hello, hello ! Donc je t'ai déjà dit sur skype ce que je pensais de la fiche owo Je te valide donc ! Je vais te mettre ton rang et ton groupe. Je te laisse également la dépêche du nouveau, ça peut être toujours utile. N'oublie pas que le cadre est à ajouter à tous les messages dans toutes les parties du forum sauf le flood ! >w< Bisoouuuuu Allez dépêche! Wouhou ! Coucou toi, mon nouveau petit chéri :3. Ta fiche a été validée (par un de nos dieux * va mourir dans son coin). Félicitations, c’est du beau travail ! Cependant, je te conseille de suivre notre petite chasse aux indices spécialement prévu pour toi. Alors, déjà mon chou, il va te falloir des amis mais ça ne s’invente pas ! Enfin, avoir un ami imaginaire, c’est possible mais ça s’appelle aussi de la schizophrénie passé un certain âge. Donc tu vas par LA et tu te trouves des camarades è__é. T’as même le droit de parler aux inconnus et de manger leurs bonbons. Ceci dit, je te comprend pour aller les rencontrer toutes ces personnes, il faut que tu sois tout beau et tout bien ravalé ( avec un devis aussi)Alors, au besoin tu peux demander à nos petits doigts de fée de te concocter un joli kit, un avatar ou même une signature. PAR ICI mon ami. Cependant, ton petit chemin (qui sent la noisette ♪ *mur*) a encore quelques secrets pour toi. Maintenant que tu es tout beau, tout propre, va donc recenser ton avatar PAR ICIII. Bien, je sens que tu continues à écouter ma divine parole siii passionnante. Maintenant, pour éviter que tu ne sois un SDF, ce serait dommage après tout ce chemin, va te trouver une maison tout de suite et que ça saute èwé. Si tu es élève ou membre de Akademie, ta maison sera LA, si tu es Alsbach PAR LA ou Habitant PAR ICIAprès ce long travail de présentation et ce petit parcours semé d’embûches, tu as bien le droit à un peu de réconfort. Dirige-toi donc vers le flood ! PAR LAUn tout petit point encore mon lapin avant que je ne te laisse bondir à ta guise. Tous les messages hormis ceux de la partie flood doivent se faire avec le formulaire qui se trouve DANS LE COIN SOMBRE LA BAS. Bon courage/chance/supplice/amusement par nous ! |
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